Géobiologie et exploitations agricoles

La Géobiologie est une discipline qui est encore beaucoup décriée, y compris dans le domaine scientifique.

L’une des principales raisons est qu’il est encore difficile d’expliquer « scientifiquement » les phénomènes étudiés par les géobiologues, et encore plus l’influence des interventions et corrections réalisées !

Mais s’il est un secteur d’activité ou ce point de vue « rationnel » peut être confronté à ses limites, c’est bien dans l’agriculture, et plus particulièrement dans les élevages.

Il n’est plus à démontrer que les animaux sont très sensibles aux énergies, certains plus que d’autres en fonction de leur sensibilité. Ils peuvent non seulement percevoir des vibrations, des fréquences, que l’Homme ne peut percevoir (ou difficilement), mais ils sont aussi souvent beaucoup plus rapidement impactés par les nuisances de celles-ci.

Dans de nombreux élevages, des exploitants se trouvent démunis face à la récurrence de certaines problématiques liées au comportement ou à la santé de leurs animaux (liste non exhaustive) :

  • Problèmes de regroupement et/ou refus d’entrer dans un bâtiment ;
  • Problème de litière ;
  • Agressivité ;
  • Problème de fécondité ;
  • Perturbation des cycles ;
  • Problème de croissance ;
  • Surmortalité ;
  • Œdèmes, boiteries, mammites, taux cellulaires élevés… dans les élevages laitiers ;
  • Phénomènes de cannibalisme, d’écrasement… dans les élevages porcins ;
  • « Picage » important… dans les élevages avicoles ;
  • Etc…

Faute de solutions efficaces et pérennes de la part de leurs partenaires traditionnels (vétérinaires, techniciens, etc.), les éleveurs font de plus en plus appel à des Géobiologues.

Il est vrai que l’explosion des sources de nuisances artificielles dans l’environnement (antennes relais, éoliennes, courants vagabonds…) et leurs impacts avérés sur les exploitations, ainsi que leur médiatisation, ont accéléré l’ouverture des consciences.

L’analyse de ces nuisances artificielles, ainsi que celle des différentes nuisances naturelles (nuisances cosmo-telluriques) présentes sur les exploitations permettent d’apporter non seulement un autre éclairage sur l’origine des problématiques rencontrées, mais également et surtout des solutions et conseils adaptés.

Et même si la Géobiologie reste une discipline très contestée par bon nombre de « scientifiques », les résultats sont là, factuels et très souvent mesurables… y compris financièrement !!!

De plus en plus d’organismes et d’experts invitent les scientifiques à s’intéresser à ces résultats.

Le Conseil Général de l’Alimentation de l’Agriculture et des Espaces Ruraux (CGAAER) – organe consultatif du ministère de l’Agriculture et de la Souveraineté alimentaire – dans une grande étude de 2023 sur l’impact des antennes téléphoniques, installations électriques et éoliennes sur les activités d’élevage, suggère dans son rapport, face au constat des résultats obtenus, « de ne pas rejeter systématiquement certaines approches du vivant comme la géobiologie et invite à un meilleur partage des connaissances entre organismes de recherche et ministères. »

Et même s’il exprime légitimement quelques réserves (sérieux et éthique de certains géobiologues, pratiques « douteuses »…), il rappelle à tous ceux qui rejettent systématiquement cette discipline faute d’explications scientifiques une célèbre citation d’Aristote:

« Le commencement de toutes les sciences,

c’est l’étonnement de ce que les choses sont ce qu’elles sont »

C’est d’ailleurs ce qui me plait dans ces interventions!

Même si les dossiers peuvent parfois être très complexes, même si nous œuvrons sur des énergies, sur des phénomènes qui « échappent » à la science à ce jour… nous sommes très vite fixés sur les résultats de nos actions ! Aucune « triche » possible avec les animaux !

De plus, de part l’impact financier que ces nuisances peuvent avoir sur une exploitation, l’implication des exploitants dans la compréhension des différents phénomènes, ainsi que leur coopération dans l’analyse des cas ou la mise en place des solutions, est réelle. Et leurs conclusions sont sans appel… « Les choses sont ce qu’elles sont » !